Messages inspirants du Président Thomas S. Monson

Publié le 16 Février 2012


« Viens et suis-moi »

Lorsque le sauveur était sur la terre, on lui a demandé lequel des commandements était le plus important de la loi. Il a répondu « tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable, tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Son évangile était un évangile d’amour pas de haine. C’était un évangile d’encouragement, qui ne se complaisait pas dans la recherche des fautes ou dans la critique d’autrui. Cependant, Jésus faisant plus qu’enseigner la loi d’amour, il la vivait. On a dit de lui « il s’en allait ici et là faisant le bien…car Dieu était avec lui ». Il « croissait en sagesse, en stature et en grâce devant Dieu et devant les hommes. » Son invitation pour vous et pour moi était « suivez-moi ». C’est donc notre responsabilité : suivre le sauveur du monde, le fils de Dieu, même Jésus-Christ. Nous devons répondre à cette invitation « viens et suis-moi ».
(Retransmission de la conférence du Pieu de Bolivie, 16 mars 2008)

Une communication efficace

Lorsque nous prenons le Seigneur pour guide alors que nous essayons de développer notre capacité à communiquer, Il peut nous aider à être humble et nous conduire vers les bonnes personnes, au bon moment et dans un climat de confiance où nous serons dignes d’une oreille attentive. Lorsque les capacités de communication sont accompagnées de spiritualité, le Seigneur peut œuvrer par l’intermédiaire de Ses serviteurs pour accomplir Ses desseins.
(« Comment communiquer efficacement », réunion de formation des autorités générales, décembre 1967)

La compassion

Jésus nous a donné de nombreux exemples de son intérêt compatissant : l’homme paralysé au bord de la piscine de Béthesda, La femme surprise en adultère, la femme au puits de Jacob, la fille de Jaïrus, Lazare, le frère de Marie et de Marthe…chacun d’eux avait besoin d’aide.
Au paralytique à Béthesda, Jésus a dit « Lève-toi, prends ton lit, et marche » (Jean5 :8). La femme pécheresse reçut ce conseil «  va, et ne pèche plus » (Jean 8 :11). Pour aider celle qui venait puiser de l’eau, Il donna un puits d’eau « jaillissant jusque dans la vie éternelle » (Jean 4 :14). A la fille décédée de Jaïrus fut donné le commandement « Jeune fille, je te le dis, lève-toi » (Marc 5 :41). A Lazare qui était mort et dans son sépulcre, Il dit « Lazare, sors ! » (Jean 11 :43).
Le sauveur a toujours fait preuve d’une capacité de compassion illimitée…
D’aucun pourrait se poser cette question pertinente : ces récits concernent le Rédempteur du monde. Une expérience si précieuse pourrait-elle se produire dans ma propre vie, sur ma propre route de Jéricho ?
Je réponds par les paroles du Maître « Venez et voyez » (Jean 1 :39)
(La compassion, l’Ensign mai 2001, page 18)

De la joie pendant le voyage

Parmi vous il y en a qui sont célibataires – peut-être étudiantes, peut-être dans la vie active – quoi qu’il en soit vivant une vie remplie et riche, quelles que soient les perspectives d’avenir.
Il y a des mères de jeunes enfants qui sont très occupées, ou encore des mères luttant seules pour élever leurs enfants sans le soutien d’un mari et d’un père.
Certaines d’entre vous ont élevé leurs enfants mais réalisent que, alors que leurs enfants ont eu à leur tour des enfants, les défis se multiplient car leur besoin de votre aide est permanente. Il y a celles d’entre vous qui ont des parents âgés ayant besoin de soins aimants que vous seules êtes en mesure de leur donner.
Où que vous soyez sur le chemin de la vie, votre propre tapisserie se tisse avec des fils communs à toutes les femmes…
La vie de chacune d’entre vous est remplie d’une multitude de choses à faire. Je vous supplie de ne pas laisser les choses importantes de la vie passer à côté de vous, attendant ce jour illusoire et qui ne viendra jamais, où vous aurez le temps de faire tout ce que vous voulez. Trouvez plutôt de la joie pendant le voyage – aujourd’hui.
(« De la joie pendant le voyage », conférence des femmes de BYU, 2 mai 2008)

L’attachement aux biens de ce monde

Lorsque nous voyageons dans le monde entier, les membres de l’Eglise, et en particuliers les dirigeants de la prêtrise, nous demandent très souvent « A votre avis quelle est le plus grand problème auquel l’Eglise doit faire face ? » Je réponds généralement « Le principal défi pour les membres de l’Eglise consiste à vivre dans le monde sans être du monde ». Je voudrais insister sur le fait que, à l’époque où nous vivons, les vagues puissantes de l’immoralité, de l’irresponsabilité et de la malhonnêteté s’attaquent aux amarres même de nos vies. Si nous ne protégeons pas ces amarres, si nous n’avons pas de fondations assez profondes pour résister à des influences si éprouvantes, nous allons nous trouver en difficulté.
(«  Le besoin d’accroître le nombre de détenteurs de la prêtrise de Melchisédek », séminaire de formation des représentants régionaux, 6 avril 1984)

(Publié par LDSChurchNews - Traduit par Sylvie)

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