Le manteau : histoire sur la charité

Publié le 2 Janvier 2012





Marvin J. Ashton
« La véritable charité n’est pas quelque chose que l’on peut donner ; c’est quelque chose que l’on acquiert et que l’on assimile. Et une fois que la charité est implantée dans notre cœur, nous ne sommes plus jamais le même. Elle rend l’idée même de critiquer répugnante.

« Peut-être le degré le plus élevé de charité consistet-il à être gentils les uns envers les autres, à ne pas juger ni classer autrui, à s’accorder les uns aux autres le bénéfice du doute ou à se taire. La charité, c’est accepter les différences, les faiblesses et les imperfections des autres ; c’est être patient avec quelqu’un qui nous a déçu ; ou encore résister à un mouvement d’humeur quand quelqu’un ne fait pas quelque chose comme nous l’aurions souhaité. La charité, c’est refuser de tirer parti des faiblesses des autres et être prêt à pardonner à quelqu’un qui nous a blessé. La charité, c’est attendre le mieux les uns des autres » (L’Étoile, juillet 1992, p. 20).

Bruce R. McConkie
« Au-delà de tous les attributs du divin et de la perfection, c’est la charité qu’il faut rechercher avec le plus de ferveur. Elle est plus que l’amour, beaucoup plus, elle est l’amour éternel, l’amour parfait, l’amour pur du Christ qui dure à jamais. C’est un amour tellement centré sur la justice que celui qui la possède n’a d’autre but ni d’autre désir que le bien- être éternel de son âme et de celle de son entourage (2 Néphi 26:30 ; Moroni 7:47 ; 8:25-26) » (Mormon Doctrine, p. 121).

Joseph B. Wirthlin
« Pour parler simplement, la charité signifie que l’on soumet ses intérêts et ses besoins à ceux des autres, comme le Seigneur l’a fait pour nous tous. L’apôtre Paul a écrit que, de la foi, de l’espérance et de l’amour, ‘la plus grande [chose], c’est l’amour’ (1 Corinthiens 13:13). Moroni a écrit que si l’on n’a pas la charité, on ne peut en aucune manière être sauvé dans le royaume de Dieu (voir Moroni 10:21). Je crois que le service désintéressé est une part distinctive de l’Évangile » (L’Étoile, janvier 1992, p. 18)


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