Le miracle de l’Expiation de Jésus Christ

Publié le 25 Avril 2011




Il n’y a aucun péché ni aucune transgression, aucune souffrance ni aucune tristesse qui soient hors de portée du pouvoir guérisseur de son expiation.


Le Messie est venu racheter les hommes de la chute d’Adam. Dans l’Évangile de Jésus-Christ, tout dirige notre attention vers le sacrifice expiatoire du Messie, le Fils de Dieu.


Le plan du salut ne pouvait être réalisé sans une expiation. « C’est pourquoi Dieu lui-même expie les péchés du monde, pour réaliser le plan de la miséricorde, pour apaiser les exigences de la justice, afin que Dieu soit un Dieu parfait et juste, et aussi un Dieu miséricordieux. »

Le sacrifice expiatoire devait être réalisé par le Fils de Dieu sans péché, car l’homme déchu ne pouvait pas expier ses propres péchés. L’Expiation devait être infinie et éternelle, pour couvrir tous les hommes, pendant toute l’éternité.

Par ses souffrances et sa mort, le Sauveur a expié les péchés de tous les hommes. Son expiation a débuté à Gethsémané, a continué sur la croix et a atteint son apogée à la résurrection.

« Oui… il sera mené, crucifié, et mis à mort, la chair devenant assujettie à la mort, la volonté du Fils étant engloutie dans la volonté du Père. » Par son sacrifice expiatoire, il a donné « sa vie en sacrifice pour le péché ».

Étant le Fils unique de Dieu, il a hérité de pouvoir sur la mort physique. Cela lui a permis de rester en vie lorsqu’il a souffert « plus encore que l’homme ne peut en souffrir sans en mourir ; car voici, du sang lui [est sorti] de chaque pore, si grande [a été] son angoisse pour la méchanceté et les abominations de son peuple. »

Non seulement il a payé le prix pour les péchés de tous les hommes, mais il a aussi pris « les souffrances et les maladies de son peuple ». Et il a pris « ses infirmités, afin que ses entrailles soient remplies de miséricorde… afin qu’il sache, selon la chair, comment secourir son peuple selon ses infirmités ».

Le Sauveur a ressenti le poids de l’angoisse de toute l’humanité, l’angoisse du péché et du chagrin. « Ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé. »

Par son expiation, il guérit non seulement le transgresseur mais aussi l’innocent qui souffre à cause de ces transgressions. Si l’innocent exerce sa foi au Sauveur et en son expiation, et pardonne au transgresseur, lui aussi peut être guéri.

Jésus-Christ est le grand guérisseur de notre âme. À l’exception des péchés de perdition, il n’y a aucun péché ni aucune transgression, aucune souffrance ni aucune tristesse qui soient hors de portée du pouvoir guérisseur de son expiation.


C. Scott Grow des soixante-dix - «Le miracle de l’Expiation» - Conférence générale d’Avril 2011

1 commentaire:

Anonyme a dit…

rien ni personne sur terre ne peut nous donner cette guérison,c'est merveilleux>....