La réunion générale des jeunes filles a eu lieu au centre de conférences ce samedi 27 Mars 2010. Parmi les orateurs se trouvait la Présidence Générale des jeunes filles et un membre de la Première Présidence, Président Dieter Uchtdorf.
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Est-ce que Facebook est une bénédiction ou une malédiction ?
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Est-ce que Facebook est une bénédiction ou une malédiction ?
Facebook est le plus grand réseau social du monde avec plus de 400 millions d'utilisateurs. Facebook a été fondé en 2004 par Mark Zuckerberg, lequel a récemment déclaré : "c'est un chiffre important, mais dans notre idée, c'est tout juste le commencement de notre but, qui est de connecter tout le monde !"
C'est un objectif incroyablement ambitieux, mais vu comme c'est parti, c'est en bonne voie d'accomplissement. Pourquoi je dis cela ? Voici quelques statistiques récentes de la compagnie :
- 50 % des 400 millions d'utilisateurs se branchent sur Facebook quelque soit le jour
- plus de 60 millions de propositions de mises à jour sont envoyées chaque jour
- plus de 3 milliards de photos sont chargées sur le site chaque mois
- plus de 5 milliards d'articles d'informations (liens sur le web, histoires d'actualités, sites blogs, notes, albums-photos, etc ...) sont partagés chaque semaine
- plus de 1,5 million de commerces locaux ont des pages actives sur Facebook
- les pages de Facebook ont générées plus de 5,3 milliards de passionnés.
Permettez-moi de commencer par dire que J'AIME Facebook... Cela m'a donné l'occasion de me relier à des gens que je n'avais pas vus, où à qui je n'avais pas parlé depuis des dizaines d'années. Cela m'a rappelé les agréables souvenirs des amis de mon enfance du club de natation. Quelques unes des meilleures années de ma vie se sont passées à jouer dans la piscine et voyager avec l'équipe lors des compétitions. Bien sûr, tout le monde grandit, ma famille a déménagé en Californie et j'ai laissé bon nombre de mes collègues-nageurs Grecs derrière moi. Mais ce que je n'ai pas laissé en arrière, ce sont tous ces chers souvenirs. Maintenant, grâce à la magie de Facebook, nous avons repris le contact et ce fut une magnifique bénédiction.
De participer à une réunion de retrouvailles de mon lycée l'été dernier, a aussi ouvert les portes pour reprendre le contact avec des collègues du water-polo, des membres de l'équipe de natation et d'autres amis, perdus de vue depuis des années. Un des bénéfices majeurs de ce réseau social est d'abriter tous ces "morceaux" de vie communs sous un même toit. Bien que tous ces gens vivent partout à travers le monde, nous pouvons redevenir amis. Nous papotons, nous partageons les photos et les dernières nouvelles de nos vies et de nos familles, nous plaisantons et évoquons nos souvenirs; nous partageons nos intérêts, nous tissons des relations, et soutenons les péripéties des uns et des autres.
Tout ceci est formidable, mais il existe un coté plus sombre à toute cette histoire de "connexion".
D'après la firme PCWorld, Facebook est cité dans une demande de divorce sur cinq, selon une nouvelle enquête publiée cette semaine. L'enquête nous parvient par le biais d'un centre de divorce anglais, appelé "Divorce-Online". Le centre prétend que 20% de tous les documents de divorce mettent en cause Facebook, d'une manière ou d'une autre.
La source du problème, n'est pas bien difficile à deviner : trop de conjoints utilisent le réseau social pour flirter ... ou pire.
"La raison la plus commune, semble venir du fait que les gens ont des conversations sexuelles inappropriées avec des personnes, avec lesquelles, ils ne sont pas supposés en avoir" a formulé Mark Keenan, PDG de Divorce-Online.
Malheureusement, je sais que cela est vrai, même parmi la communauté SDJ.
L'auteur SDJ Laura Brotherson, dans son livre "Et ils n'ont même pas honte" a écrit : "tandis que le divorce détruit environ cinq mariages sur dix, beaucoup de couples qui restent mariés s'installent dans un vide émotionnel de vie conjugale médiocre, créant, ce qu'il est convenu d'appeler un "mariage parallèle ". Ces couples en mariage parallèle, peuvent partager une maison et une vie, mais ne partagent pas leurs cœurs. "
Pour commencer, ces couples sont extrêmement vulnérables. Quand un conjoint se met en demeure de recontacter un ancien ou une ancienne petite ami(e), c'est un désastre annoncé. Certes, il y a toujours, au départ, l'excitation de retrouver quelqu'un, survenant de notre passé. Cependant cette excitation peut facilement tourner au flirt, sinon pire. Cela peut conduire à des comportements incorrects et menacer l'existence même, des unions éternelles.
Comme dans toutes les avancées technologiques (pensez à Internet et à la pornographie sur Internet), il y a toujours deux cotés à toute chose. Il est crucial de devenir conscient des bénéfices mais aussi de tous les "champs de mines" potentiels. Délimiter certaines frontières à l'avance nous aidera à apprécier les apports de Facebook sans succomber aux tentations.
Par exemple, si vous écrivez quelque chose ou envoyez une photo que vous n'aimeriez pas que votre conjoint voit, c'est le drapeau rouge vous signalant que c'est incorrect. Si vous vous retrouvez en train d'éprouver des sentiments pour quelqu'un d'autre que votre conjoint, parlez-en à un conseiller ou à quelqu'un en qui vous avez confiance. Si quelqu'un vous met mal à l'aise en flirtant avec vous, aussi flatteur que cela puisse paraître, c'est dangereux. Vous feriez bien de mettre fin à cette amitié par mesure de sécurité. Nos mariages, la sécurité de nos enfants et le futur de nos familles en dépendent.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Angélique)
C'est un objectif incroyablement ambitieux, mais vu comme c'est parti, c'est en bonne voie d'accomplissement. Pourquoi je dis cela ? Voici quelques statistiques récentes de la compagnie :
- 50 % des 400 millions d'utilisateurs se branchent sur Facebook quelque soit le jour
- plus de 60 millions de propositions de mises à jour sont envoyées chaque jour
- plus de 3 milliards de photos sont chargées sur le site chaque mois
- plus de 5 milliards d'articles d'informations (liens sur le web, histoires d'actualités, sites blogs, notes, albums-photos, etc ...) sont partagés chaque semaine
- plus de 1,5 million de commerces locaux ont des pages actives sur Facebook
- les pages de Facebook ont générées plus de 5,3 milliards de passionnés.
Permettez-moi de commencer par dire que J'AIME Facebook... Cela m'a donné l'occasion de me relier à des gens que je n'avais pas vus, où à qui je n'avais pas parlé depuis des dizaines d'années. Cela m'a rappelé les agréables souvenirs des amis de mon enfance du club de natation. Quelques unes des meilleures années de ma vie se sont passées à jouer dans la piscine et voyager avec l'équipe lors des compétitions. Bien sûr, tout le monde grandit, ma famille a déménagé en Californie et j'ai laissé bon nombre de mes collègues-nageurs Grecs derrière moi. Mais ce que je n'ai pas laissé en arrière, ce sont tous ces chers souvenirs. Maintenant, grâce à la magie de Facebook, nous avons repris le contact et ce fut une magnifique bénédiction.
De participer à une réunion de retrouvailles de mon lycée l'été dernier, a aussi ouvert les portes pour reprendre le contact avec des collègues du water-polo, des membres de l'équipe de natation et d'autres amis, perdus de vue depuis des années. Un des bénéfices majeurs de ce réseau social est d'abriter tous ces "morceaux" de vie communs sous un même toit. Bien que tous ces gens vivent partout à travers le monde, nous pouvons redevenir amis. Nous papotons, nous partageons les photos et les dernières nouvelles de nos vies et de nos familles, nous plaisantons et évoquons nos souvenirs; nous partageons nos intérêts, nous tissons des relations, et soutenons les péripéties des uns et des autres.
Tout ceci est formidable, mais il existe un coté plus sombre à toute cette histoire de "connexion".
D'après la firme PCWorld, Facebook est cité dans une demande de divorce sur cinq, selon une nouvelle enquête publiée cette semaine. L'enquête nous parvient par le biais d'un centre de divorce anglais, appelé "Divorce-Online". Le centre prétend que 20% de tous les documents de divorce mettent en cause Facebook, d'une manière ou d'une autre.
La source du problème, n'est pas bien difficile à deviner : trop de conjoints utilisent le réseau social pour flirter ... ou pire.
"La raison la plus commune, semble venir du fait que les gens ont des conversations sexuelles inappropriées avec des personnes, avec lesquelles, ils ne sont pas supposés en avoir" a formulé Mark Keenan, PDG de Divorce-Online.
Malheureusement, je sais que cela est vrai, même parmi la communauté SDJ.
L'auteur SDJ Laura Brotherson, dans son livre "Et ils n'ont même pas honte" a écrit : "tandis que le divorce détruit environ cinq mariages sur dix, beaucoup de couples qui restent mariés s'installent dans un vide émotionnel de vie conjugale médiocre, créant, ce qu'il est convenu d'appeler un "mariage parallèle ". Ces couples en mariage parallèle, peuvent partager une maison et une vie, mais ne partagent pas leurs cœurs. "
Pour commencer, ces couples sont extrêmement vulnérables. Quand un conjoint se met en demeure de recontacter un ancien ou une ancienne petite ami(e), c'est un désastre annoncé. Certes, il y a toujours, au départ, l'excitation de retrouver quelqu'un, survenant de notre passé. Cependant cette excitation peut facilement tourner au flirt, sinon pire. Cela peut conduire à des comportements incorrects et menacer l'existence même, des unions éternelles.
Comme dans toutes les avancées technologiques (pensez à Internet et à la pornographie sur Internet), il y a toujours deux cotés à toute chose. Il est crucial de devenir conscient des bénéfices mais aussi de tous les "champs de mines" potentiels. Délimiter certaines frontières à l'avance nous aidera à apprécier les apports de Facebook sans succomber aux tentations.
Par exemple, si vous écrivez quelque chose ou envoyez une photo que vous n'aimeriez pas que votre conjoint voit, c'est le drapeau rouge vous signalant que c'est incorrect. Si vous vous retrouvez en train d'éprouver des sentiments pour quelqu'un d'autre que votre conjoint, parlez-en à un conseiller ou à quelqu'un en qui vous avez confiance. Si quelqu'un vous met mal à l'aise en flirtant avec vous, aussi flatteur que cela puisse paraître, c'est dangereux. Vous feriez bien de mettre fin à cette amitié par mesure de sécurité. Nos mariages, la sécurité de nos enfants et le futur de nos familles en dépendent.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Angélique)
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Vivre au travers des Ecritures
« Et s’ils suivent les instructions qu’ils reçoivent, ils auront…le pouvoir d’accomplir tout ce qui a trait à Sion. » - Doctrine et Alliances 105 :37
Il y a de nombreuses années, alors que j’étais président de Pieu, je donnais un discours lors d’une conférence à propos de l’immoralité dans les films et les divertissements. J’ai insisté sur des idées telles que « éteignez » ou « partez ». Ne soyez pas mou et partez, ne vous souciez pas de ce que les autres peuvent penser lorsque vous le ferez. Ne vous souciez pas de l’argent que vous aurez perdu pour un ticket.
Quelques mois plus tard, je marchais en ville lorsqu’une jeune femme de mon Pieu me reconnut et me rattrapa. Elle criait presque, « Je l’ai fait ! Je l’ai fait ! ».Elle était très excitée et fière. Je n’avais aucune idée de ce dont elle parlait, aussi le lui demandais-je gentiment. Elle dit : « Ne vous souvenez-vous pas ? Vous nous avez dit de partir si le film était mauvais. Et bien je l’ai fait. Le film était réellement mauvais et donc je suis partie. Je n’ai même pas demandé à ce que l’on me rembourse. »
Je me suis souvenu de l’Ecriture dans Doctrine et Alliances 105 : 37 qui dit, « Et s’ils suivent les instructions qu’ils reçoivent, ils auront…le pouvoir d’accomplir tout ce qui a trait à Sion. »-
Elle a certainement ressenti qu’elle avait plus de pouvoir après cette expérience. Elle avait fait quelque chose de vraiment bénéfique pour son propre bien être et pour son estime d’elle-même. En même temps, elle a fait quelque chose de vraiment bien pour moi. Je pensais que personne n’écoutait vraiment ou ne faisait ce que je recommandais lorsque je donnais un discours. Et bien, il y en avait au moins une ! Elle m’avait réconforté ce jour là.
— Paul F. Mecham, Hunter 4me paroisse, Pieu de Salt Lake Hunter Ouest.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Sylvie)
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Le témoignage d’un missionnaire en vidéo
Le départ en mission de Mikaël Mayer
(Partagé par Serge)
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