Messages d’inspirations de Président Monson
Grandes aspirations
Aujourd’hui, en vous regardant, mes jeunes frères et sœurs, je contemple qui vous êtes, ce que vous êtes et ce que vous pouvez devenir. Je vous le dis … vous avez de grandes attentes – et ce n’est pas le résultat d’un bienfaiteur inconnu mais c’est le résultat d’un bienfaiteur connu, même de notre Père céleste, et on attend de grandes choses de votre part.
_‘Devotional’ de BYU, 12 sept. 2000
Un foyer heureux
Trois des nombreuses caractéristiques d’un foyer heureux :
Caractéristique numéro 1 : Agenouillez-vous pour prier. Je vous suggère de retourner aux pratiques traditionnelles de la prière en famille.
Caractéristique numéro 2 : Levez-vous et servez. Le service fait parti intégrante du mot enthousiasmant, à savoir ‘le devoir’. Se lever pour servir est notre devoir en action.
Caractéristique numéro 3 : Tendez les bras pour secourir. Pendant le voyage, sur le chemin de la vie, il y a des urgences. L’indifférence, la négligence, l’égoïsme et le péché prennent tous un prix coûtant à la vie humaine. Des familles divisées, des foyers brisés ont besoin d’être reliés par une bande – même d’un baume guérisseur – d’amour.
_De la conférence internationale de ‘L’année de la famille’, 19 mars 1995
La vie éternelle pour but ultime
Lui qui a conquis la mort et a expié les péchés du monde, celui-là même, Jésus-Christ invita chacun d’entre nous à suivre son exemple divin. ‘Suis-moi’ devint son humble instruction. Viens, ‘apprends de moi’ fut son invitation personnelle pour une connaissance qui dure même au-delà de cette vie et qui dure toute l’éternité.
Lorsque l’argent, et non la moralité, dicte les conduites de quelqu’un, celui-ci se détourne de Dieu. S’éloigner de Dieu engendre des alliances rompues, des rêves brisés, des espoirs anéantis et des vies ruinées. Je vous prie d’éviter un tel bourbier de sable mouvant. Vous êtes de naissance noble. La vie éternelle dans le royaume de notre Père est votre but. Un tel but n’est pas achevé en une seule tentative glorieuse ; au contraire, c’est le résultat d’une vie de justice, une accumulation de choix sages – même une résolution constante.
_Coin de feu du CES, Centre de Marriott, 7 fév. 1999
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Histoire de la famille : éternellement reconnaissante
Depuis que j’ai joint l’église, il y a sept ans maintenant, j’ai eu des expériences spirituelles qui m’ont conduite à trouver plus de 5000 personnes de ma famille dans des recherches généalogistes.
Il y a quelques temps, j’ai reçu un email me demandant des informations sur un homme nommé Charles Morey White. Cet email mentionnait qu’il faisait partie de mon arbre généalogique.
Ce nom ne me semblait pas familier. Je me suis donc plongé dans mon arbre pour vérifier qu’il s’agissait d’une méprise, et que cet homme ne faisait pas partie de mon arbre.
Alors que j’étais sur le point de renvoyer un email mentionnant à cette personne que j’étais dans l’incapacité de l’aider dans ses recherches, j’ai soudainement ressenti une présence à mes côté, qui était profondément triste. Au lieu d’écrire à cette femme que je ne pouvais rien pour elle, je me suis efforcée de trouver des informations sur cet homme, à partir du peu que je savais : les noms de sa femme et de ses enfants.
A l’aide d’un moteur de recherche sur internet, je tombais sur un trésor : à partir du contact initial, qui consistait en Charles Morey White Sr, Frankie, son épouse, et leur deux enfants, dont un qui s’appelait Charles Morey White Jr. En approfondissant mes recherches, je découvris à travers Frankie White des ouvrages divers qui retraçait l’origine de cette famille jusqu’aux pères fondateurs du Rhode Island et du Massachusetts.
J’ai pu transmettre cette information ainsi que les liens y conduisant à mon contact, qui m’a fait part de sa profonde gratitude.
Ce nom ne me semblait pas familier. Je me suis donc plongé dans mon arbre pour vérifier qu’il s’agissait d’une méprise, et que cet homme ne faisait pas partie de mon arbre.
Alors que j’étais sur le point de renvoyer un email mentionnant à cette personne que j’étais dans l’incapacité de l’aider dans ses recherches, j’ai soudainement ressenti une présence à mes côté, qui était profondément triste. Au lieu d’écrire à cette femme que je ne pouvais rien pour elle, je me suis efforcée de trouver des informations sur cet homme, à partir du peu que je savais : les noms de sa femme et de ses enfants.
A l’aide d’un moteur de recherche sur internet, je tombais sur un trésor : à partir du contact initial, qui consistait en Charles Morey White Sr, Frankie, son épouse, et leur deux enfants, dont un qui s’appelait Charles Morey White Jr. En approfondissant mes recherches, je découvris à travers Frankie White des ouvrages divers qui retraçait l’origine de cette famille jusqu’aux pères fondateurs du Rhode Island et du Massachusetts.
J’ai pu transmettre cette information ainsi que les liens y conduisant à mon contact, qui m’a fait part de sa profonde gratitude.
Jane Bader, consultante en histoire de la famille pour le district de Plainview, New York
(Publié par LDSChurchNews – Traduit par Cédric)
(Publié par LDSChurchNews – Traduit par Cédric)
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Pensée du jour
Opportunité dans les différences
« Dieu nous aidera à voir les différences chez autrui non pas comme une source d’irritation mais comme une solution. Le Seigneur peut vous aider à voir et à apprécier ce qu’un autre apporte et qui vous manque. Plus d’une fois, le Seigneur m’a aidé à voir sa bonté en me permettant d’être associé à quelqu’un dont la différence avec moi était juste ce dont j’avais besoin. Cela a été la manière dont le Seigneur m’a ajouté quelque chose qui me manquait pour le servir mieux. »
Opportunité dans les différences
« Dieu nous aidera à voir les différences chez autrui non pas comme une source d’irritation mais comme une solution. Le Seigneur peut vous aider à voir et à apprécier ce qu’un autre apporte et qui vous manque. Plus d’une fois, le Seigneur m’a aidé à voir sa bonté en me permettant d’être associé à quelqu’un dont la différence avec moi était juste ce dont j’avais besoin. Cela a été la manière dont le Seigneur m’a ajouté quelque chose qui me manquait pour le servir mieux. »
Henry B. Eyring Premier Conseiller dans la Première Présidence
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