News du 6 Mai 2009

Conférence de volontaires qui recherchent l’occasion de servir

Victime de l' ouragan Katrina, Valérie Hollberg a été bénéficiaire d' un trousseau d' hygiène conçu par les membres de l' église de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours.
"j' ai pu faire beaucoup de choses avec ses petites choses dans la trousse " a-t-elle dit "nous n' avions plus rien"
Maintenant Valérie, qui habite à Salt Lake City, veut faire la même chose pour quelqu'un d' autre.


Comme l' une des milliers de femmes réunies jeudi pour un projet de service pendant la conférence des femmes à B Y U. Elle s' est proposée pour fabriquer des trousseaux d' hygiène.
La conférence des femmes qui fut organisée par les étudiants de B Y U depuis 1976 est maintenant parrainée par la société de secours de l' église de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours. La participation des femmes à cette conférence qui dure deux jours ,est estimée à 20,000.
La première fois que la société de secours s' est jointe aux étudiants fut en 1999. Depuis le point de vue au sujet du service à cette conférence n' a pas cessé de grandir et est devenu la partie de la conférence que les femmes attendent le plus a dit Julie B Beck présidente générale de la société de secours.

Pendant cette dernière décennie les femmes de la conférence de B Y U ont rassemblé plus de 7,000 jeux d' enfants, 3,400 couvertures de laine, 20,000 cartes de voeux, 3,200 chapeaux, 14,000 jouets en bois, 47,000 trousseaux pour nouveau-né, 11,000 trousseaux d' écolier, 390,000 trousseaux d' hygiène entre autre choses.
Avec ses conseillères, Silvia H. Allred et Barbara Thompson, Julie B. Beck a visité l'endroit où l' on partage les idées et les projets de service dans "Richards Building" et "le Smith Fieldhouse" sur le campus de B Y U .

" Nous voulions que les soeurs sachent que nous les apprécions" a dit Julie B. Beck "Notre présidence sert à l' aide sociale du comité de l' église. Nous avons appris où ces choses partaient, pendant que nous voyagions à travers le monde. c' est amusant de voir ces choses depuis leur conception puis voir le bien qu 'ils font ailleurs.
Les salles étaient remplies de femmes donnant de leur temps volontairement, d' autres faisaient la queue pour pouvoir contribuer aussi.
Soeur Allred a dit :"c'était merveilleux de voir ces femmes qui avaient le choix de faire plein de choses mais qui avaient choisi de faire quelque chose pour quelqu'un".
Soeur Thompson a dit:" le service donne de l'énergie aux participantes de la conférence des femmes ;"
" Il y a plus de services que vous pouvez l' imaginer dans ces bâtiments parmi ces soeurs" a-t-elle dit" j' aime ces sœurs qui désirent servir, regardez comme elles se consacrent à ce qu' elles font. Elles ont été en réunion toute la journée et maintenant elles sont prêtes à servir toute la nuit."
Renée Hill a rapporté à Julie B.Beck qu 'une soeur a dit " Je serai là tant qu' il y aura une boite à remplir ".
(Publié par MormonTimes – Traduit par Marie D.)


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L’Evangile en un mot : Révérence

« Montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte, car notre Dieu est aussi un feu dévorant. » (Hébreux 12:28-29)

« La révérence » est un « profond respect et la vénération pour une certaine chose, endroit, ou la personne considérée comme ayant un caractère sacré ou exalté »(dans le dictionnaire anglais Oxford). La révérence vient de la racine qui signifie regarder vers, protégez, la couverture; en particulier il a le sens d'observer avec le respect religieux (les Origines des Mots anglais). Le mot hébreu que nous traduisons dans la révérence signifie avoir peur, être effrayé; révérer, respecter, Soyez stupéfiant. Selon le contexte, cette crainte relate la terreur et la peur. Dans d'autres contextes, il se rapporte à l'honneur, le respect et la crainte, comme dans « a crainte du Seigneur » (la forte Concordance).

La révérence peut être définie comme un profond respect un mélange d'amour et de crainte. D'autres mots qui ajoutent à notre compréhension de révérence incluent la gratitude, l'honneur, la vénération et l'admiration. Le mot souche révère implique aussi un élément de crainte. Ainsi, la révérence pourrait être comprise pour signifier une attitude de profond respect et l'amour avec un désir d'honorer et montrer la gratitude, avec la crainte d'une foi cassante ou offensante" (Elder M Russell Ballard, l'étoile, mai 1998

Un des signes les plus révélateurs de la détérioration générale de notre société est le déclin presque constant dans la révérence. Président Howard W. Hunter nous a appris, « Dans le processus de déclin moral, la révérence est une des premières vertus à disparaître et il devrait y avoir le souci sérieux de cette perte dans nos temps. Il y a les larges secteurs de notre société dont l'esprit de prière et la révérence et l'adoration a disparu. Hommes et femmes dans beaucoup de cercles sont intelligents, intéressants, ou brillants, mais, il manque un élément crucial dans une vie complète. Ils ne lèvent pas les yeux. Malheureusement, nous trouvons parfois ce manque de révérence même dans l'église. De temps en temps nous visitons trop bruyamment, entrons à des réunions trop irrespectueusement dans ce qui devrait être une heure de prière et d'adoration purifiante. La révérence est l'atmosphère du ciel » (l'Etoile, novembre 1977).

Dans un certain respect, la révérence est l'opposé du bruit. Président Boyd K. Packer nous apprend, « Pour les dernières années nous avons observé les modèles de révérence et l'irrévérence dans l'église. Tandis que plusieurs doivent être fortement recommandés, nous dérivons. Nous avons raison d'être profondément concerné. Le monde devient de plus en plus bruyant. Cette tendance à plus de bruit, plus d'excitation, plus de conflit, moins de retenue, moins de dignité, moins de formalité n'est pas coïncidence, ni innocente, ni inoffensive. L'irrévérence convient aux buts de l'adversaire en entravant les délicates chaînes de la révélation autant dans l'âme que dans l'esprit »
(l'Etoile, novembre 1991).

Plus sur la révérence la semaine prochaine….
(Publié par MormonTimes – Traduit par Eliane)


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Instants Missionnaires : Une fortune familiale

Hong Qi Liang, 14 ans, revenait à pied de l'école, son sac à dos sur l'épaule quand il répondit au salut de deux missionnaires servant dans la Mission de Taïwan Kaohsiung. Malgré le vacarme d'une rue animée et l'attention distraite par un jour pluvieux, Hong fut suffisamment intrigué par Elder Andrew Mitchell et Elder Alan Beal pour accepter une invitation à écouter l'Evangile.
Deux fois par semaine durant la demi-douzaine de semaines suivantes, Hong rencontra les missionnaires dans l'unique salle de réunion de la ville méridionale de Kaohsiung.

Les missionnaires étaient impressionnés par l'attention de Hong, alors qu'au début, il semblait à peine curieux. Hong assistait consciencieusement aux discussions missionnaires tout en y accordant un intérêt désinvolte. Mais, sitôt après avoir lu le Livre de Mormon avec les missionnaires, un signal d'engagement s'enflamma. Il accepta les invites d'assistance aux réunions dominicales, couvrant à pied la distance de 1,600 km qui séparait son domicile de l'église.

Tout en gardant leur distance, les parents de Hong, remarquant le changement dans son attitude et son comportement, permirent aux missionnaires de le rencontrer à la maison. Après les discussions, Hong partageait ses nouveaux trésors avec sa famille et particulièrement aves ses deux plus jeunes frères qui, souvent, se joignaient aux discussions.
Appréciant ce qu'ils virent, les parents donnèrent, peu de temps après, leur consentement écrit pour le baptême de Hong. Il eut lieu en octobre 2007 en présence des missionnaires et de membres et spécialement de son père qui assista également à sa confirmation durant la réunion de Sainte-Cène, le jour suivant.

Les mutations arrivèrent la semaine suivante, envoyant les missionnaires au fin fond de la Mission. Une année et demie s'écoula, sans nouvelles. Il y avait d'autres investigateurs à enseigner et de nouveaux contacts à faire ...
Puis, en avril 2009, deux semaines seulement avant le retour d'Elder Beal chez lui, Hong disait dans une lettre, combien sa vie avait été enrichie par les bénédictions, après s'être joint à l'Eglise. Il parlait de sa joie lors du baptême de sa mère et comment ses deux jeunes frères l'ont bientôt suivie. Il disait que son père était un investigateur sérieux, que des mois d'exercice d'une foi totale l'avaient amené près du baptême. Pour Hong, le baptême de son père serait le joyau qui couronnerait la fortune de la famille.

Elder Beal monta dans l'avion qui le ramenait dans son foyer avec le témoignage de Hong raisonnant encore dans ses oreilles : "Je sais que l'Eglise est vraie " disait-il.
_ Shaun D. Stahle
(Publié par LDS Church News – Traduit par Angélique)

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Pensée du jour

Notre succès se mesure à la fidélité de notre réaction

« Nos difficultés, notamment celles que nous nous attirons par nos pro-pres décisions, font partie de notre mise à l’épreuve terrestre. Je tiens à vous assurer que votre situation n’est pas hors de portée de notre Sauveur. Par lui, chaque difficulté peut nous donner de l’expérience et être pour notre bien (voir D&A 122:7). Chaque tentation que nous surmontons est destinée à nous fortifier, non à nous détruire. Le Seigneur ne permettra jamais que nous souffrions au-delà de ce que nous pouvons supporter (voir 1 Corinthiens 10:13).
Nous devons nous rappeler que l’adversaire nous connaît extrêmement bien. Il sait où, quand et comment nous tenter. Si nous obéissons aux murmures du Saint-Esprit, nous pouvons apprendre à reconnaître les séductions de l’adversaire. Avant de céder à la tentation, nous devons apprendre à dire avec une résolution inébranlable : « Arrière de moi, Satan ! » (Matthieu 16:23.)
Notre succès ne se mesure jamais à la force de nos tentations mais à la fidélité de notre réaction. Nous devons demander l’aide de notre Père céleste et rechercher la force par l’intermédiaire du sacrifice expiatoire de son Fils, Jésus-Christ. Dans les choses temporelles et spirituelles, l’obtention de cette aide divine nous permet de pourvoir et de prévoir pour nous et pour les autres. »


Robert D. Hales Du Collège des douze apôtres

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