News du 26 Mars 2009

L'EGLISE EN ESPAGNE FETE SES 40 ANS

Durant l'année 2009, l'Eglise en Espagne est inondée d'évènements significatifs. Cette semaine marque exactement la 10ème année depuis que le Temple de Madrid en Espagne a été dédicacé, et en mai les Saints des Derniers Jours espagnoles fêteront le 40ème anniversaire de la dédicace de leur pays pour la proclamation de l'Evangile.

Ouverture des portes
Alors que 1967 se terminait, la liberté de religion en Espagne n'était qu'un rêve très attendu quelque part vers l'horizon. En juin de cette année-lá, cependant, une loi fut votée qui finalement fît de la liberté de religion une réalité. L'Eglise commençât á être reconnue par le gouvernement espagnol quand elle fut officiellement enregistrée par le Ministre de la Justice le 22 Octobre 1968.Le 20 mai 1969, Elder Marion G. Romney - alors membre du Collège des Douze Apôtres - monta sur une petite colline de bois surplombant la ville de Madrid avec quelques dirigeants locaux de l'Eglise. Là, il dédia l'Espagne à la proclamation de l'Evangile. Dans la prière de dédicace, il indiqua que la dédicace marquait un "grand jour et l'ouverture d'une ère entièrement nouvelle en Espagne permettant l'accomplissement de grandes choses qui n'auraient pu se produire sans les bénédictions de l'Evangile.

Une pente escarpée
Bien que les évènements de ce jour capital signifiaient que les missionnaires Saints des Derniers Jours pouvaient officiellement aller en Espagne, la croissance initiale de l'Eglise dans le pays se dévoila être une preuve d'acharnement."Après que la loi sur la liberté de religion fut passée, les missionnaires commencèrent à entrer en Espagne", a dit Elder Faustino Lopez, Directeur du Système d'Education de l'Eglise en Espagne et autorité interégionale. "Mais il y avait beaucoup d'opposition au début parce que de nombreuses personnes ne comprenaient pas qu'il y avait cette liberté de religion ou qu'il y avait d'autres Eglises Chrétiennes à part l'Eglise Catholique".

Mais croître en Espagne, l'Eglise l'a certainement fait. Au moment de la prière de dédicace d'Elder Romney, seulement 335 membres de l'Eglise vivaient en Espagne - la plupart d'entre eux étaient militaires et leurs familles. Aujourd'hui, cependant, 42,873 membres de l'Elgise vivent en Espagne. Ils sont étendus sur cinq missions, neuf pieux, neuf districts et un combiné de 133 paroisses et branches. Le Temple de Madrid en Espagne a été dédicacé du 19-21 mars 1999.(...)

"Les Saints espagnoles ont la ténacité de s'accrocher à l'Evangile. Par exemple, je peux retourner en arrière et rencontrer de vieux amis avec qui nous étions dans le nord, et ils sont toujours actifs. Cela m'impressionne"."Il y a des membres fidèles et constants qui vont souvent au temple, et maintenant ils arrivent à la troisième génération de membres."
Premier de son temps
Bien que cela n'était que relativement récent que les lois du pays ouvrirent la porte à la proclamation de l'Evangile en Espagne, le premier membre espagnol de l'Eglise est en fait né il y a 135 ans.Meliton Gonzalez Trejo est né à Garganta La Olla, en Espagne, durant l'année 1844. Alors qu'il servait dans l'armée espagnole et était positionné en France, Frère Trejo a lu une brochure de l'Eglise qu'il avait reçue d'un missionnaire Saint des Derniers Jours. Son intérêt a été immédiat, et a la suite d'un rêve inspirant il a immigré en Utah en 1874 et a joint l'Eglise.
Par la suite, il a publié les deux premières traductions du Livre de Mormon en espagnol.Frère Trejo, qui est mort en 1917 en Arizona, continu à influencer la présence de l'Eglise dans son pays natal près d'un siècle après son décès. George R. Ryskampm, professeur d'histoire à l'Universite Brigham Young, est devenu familier avec la ville de Garganta La Olla de Frère Trejo alors qu'il recherchait la lignée de la famille Trejo. Le Professeur Ryskamp mène actuellement une recherche qu'il décrit comme "essayer de montrer les femmes des villages ruraux espagnols sous une nouvelle lumière" et il a choisi de centrer ce travail sur la ville de Garganta La Olla. Ce printemps, le Professeur Ryskamp emmènera les étudiants de l'Université de Brigham Young pour une expédition de recherche à Garganta La Olla pour la troisième fois en cinq ans.
(Publié par LDS Church NewsTraduit par Béatrice)

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Message d'inspiration d'une amie de notre site

J'ai tout particulièrement aimé l'article: "L'histoire familiale est la grande joie d'une professeur".
J'ai eu une expérience similaire dans ma vie, non pas pour avoir publié un livre mais pour avoir participé à de nombreuses recherches généalogiques familiales.

J'ai tout d'abord interrogé ma chère grand-mère qui m'a bien renseignée sur sa propre famille. Plus tard j'ai écrit l'histoire de la vie de mes parents en notant sous leur dictée le récit de tous leurs souvenirs d'enfance, de jeunesse, et de toutes les tragédies liées aux guerres qu'ils ont vécues. Je leur ai ensuite remis leur histoire écrite. Mes parents sont encore vivants.J'ai eu l'occasion de connaître, de leur vivant, de nombreux grands-oncles et grands-tantes du côté de mes parents et de ceux de mon mari, auxquels j'ai parlé de généalogie et qui m'ont alors remis, à ma grande surprise, leur propre généalogie.

J'ai ensuite complété les données en me déplaçant, avec mon mari, sur les lieux de vie de tous ces ancêtres, pour effectuer nous-mêmes les recherches dans les mairies et les Archives Départementales, dans de nombreuses régions de France.
Nous ne nous sommes pas limités aux ancêtres directs et à la famille élargie mais nous avons agrandi le cercle en incluant aussi le maximum de gens contemporains de nos ancêtres, ceux qui ont vécu à leur époque, dans les mêmes villages et que par conséquent nos ancêtres ont connus et cotoyés et qui méritaient bien de ne pas être oubliés.Puis j'ai poursuivi les recherches en commandant et consultant des micros-films au centre généalogique de notre paroisse.

Après avoir recueilli les renseignements nécessaires, dans le domaine de l'état civil, nous avons constitué des recueils que nous avons imprimés à partir des renseignements que nous avons enregistrés dans notre ordinateur. Nous avons ensuite offert un recueil avec photos d'ancêtres et de leurs lieux de vie, à chacun de nos enfants dont trois sont mariés et sont eux-mêmes parents.Aujourd'hui, une de nos filles prend la relève et poursuit les recherches dans "Les Archives en ligne". Nous allons régulièrement au Temple afin d'effectuer nous-mêmes les ordonnances en faveur des ancêtres dont nous avons retrouvé la trace et que nous avons inscrits. Nous gardons un nombre raisonnable de noms pour notre fichier familial et nous envoyons le reste aux fichiers du Temple.

Nous avons une grande joie à effectuer en famille cette oeuvre salvatice pour tous ces défunts, aussi bien dans les recherches que dans l'accomplissement des ordonnances en leur faveur. J'ai plusieurs fois ressenti leur influence qui m'a aidée à m'orienter dans le dédale du grand labyrinthe des recherches généalogiques. J'ai aussi ressenti le soutien et la force de nombreux autres chercheurs en matière de généalogie, qui pour la plupart sont des bénévoles non membres de notre Eglise mais qui bénéficient eux aussi de "l'esprit d'Elie" et qui prennent part avec nous à l'oeuvre et dont les efforts et travaux sont méritoires.

Je ne peux m'empêcher de rendre témoignage de l'oeuvre sacrée qui s'accomplit tous les jours dans les nombreux temples répartis maintenant sur presque toute la terre. Cette oeuvre dépasse notre entendement mais nous en connaissons la vérité. Je sais que notre Seigneur Jésus-Christ en est à la tête et qu'il est lui-même notre Sauveur et Rédempteur, celui de toute l'humanité. Je rends ce témoignage au nom de Jésus-Christ. Amen. - Bernadette LANDES

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Pensée du jour

Le bonheur, votre héritage

« Nous savons qu’il peut parfois être difficile de garder la tête hors de l’eau. En fait, dans notre monde de changement, de difficultés, de listes de choses à accomplir, il peut parfois sembler presque impossible d’éviter de se sentir submergé par la souffrance et le chagrin.

Je ne veux pas dire que nous pouvons simplement appuyer sur un bouton et annihiler les sentiments négatifs qui nous dépriment. Ce n’est pas un discours de motivation ni une demande à celles qui sont en train de sombrer dans des sables mouvants d’imaginer qu’en fait elles sont en train de se détendre sur une plage. Je reconnais que dans notre vie à tous il y a de réels soucis. Je sais qu’il y a ici aujourd’hui des cœurs qui éprouvent un profond chagrin. D’autres sont aux prises avec des craintes qui troublent l’âme. Pour certaines, la solitude est leur épreuve secrète.
Ces choses ne sont pas insignifiantes.

Mais je voudrais parler de deux principes qui peuvent vous aider à trouver le chemin de la paix, de l’espérance et de la joie, même dans les moments d’épreuve et de détresse. Je veux parler du bonheur de Dieu et de la manière dont chacun de nous peut y goûter malgré les fardeaux qui nous écrasent. »

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