La première présidence annonce les dates de la conférenceLa 179e conférence générale annuelle de l'Eglise, à laquelle sont invités tous les membres, se réunira au Centre de conférence de Salt Lake City, Utah, le samedi et le dimanche, 4 et 5 avril 2009, avec des sessions générales, chaque jour à 10 heures et 14h (Heure locale MST).
La réunion générale de prêtrise se tiendra dans le centre de conférences le samedi 4 avril 2009, à 18h (Heure locale MST).
Dans les régions où les membres de l'Eglise peuvent commodément assister à la conférence de Salt Lake City, ou participer par moyen de radio, de télévision, de satellite, Internet ou de transmission à LDS.org, ils devraient être encouragés à le faire. Dans ces circonstances, les réunions habituelles du Dimanche ne sont pas nécessaires le 5 avril.
Dans les régions où une seule session est diffusé le dimanche, les dirigeants locaux ont la possibilité d'ajuster les heures des réunions ou, le cas échéant, d'organiser l'ordre du jour des réunions régulières pour permettre à leurs membres d'écouter ou de regarder la conférence générale par moyen de radio, de télévision, de satellite ou par transmission par Internet.
Cordialement,
La première présidence
(Publié par LDS Church News)
Exprimer son appréciation
Une présidente de Primaire, récemment relevée de son appel, était en train de nettoyer sa boîte e-mail quand elle tombait sur un message qui avait été envoyé plus d'un an auparavant par son évêque.
En ouvrant ce message, elle se demandait ce qui avait bien pu la motiver à sauvegarder cet e-mail aussi longtemps.
À première vue, celui-ci ressemblait à des dizaines d'autres messages qu'elle avait reçu pendant son service à la primaire.
Rempli avec des affaires de paroisse, le message était aussi sur une jeune fille qui venait d'avoir 12 ans et qui avait accomplit sa le programme de "foi en Dieu" . En outre, l'évêque y faisait mention de son intention de parler aux enfants de la Primaire ce dimanche et demandait donc le thème mensuel.
Ensuite, la sœur se rappela pourquoi elle avait sauvegardé le message.
« Merci d'être une merveilleuse présidente de Primaire dans tous les sens », avait écrit son évêque avant de signer son nom.
En ouvrant ce message, elle se demandait ce qui avait bien pu la motiver à sauvegarder cet e-mail aussi longtemps.
À première vue, celui-ci ressemblait à des dizaines d'autres messages qu'elle avait reçu pendant son service à la primaire.
Rempli avec des affaires de paroisse, le message était aussi sur une jeune fille qui venait d'avoir 12 ans et qui avait accomplit sa le programme de "foi en Dieu" . En outre, l'évêque y faisait mention de son intention de parler aux enfants de la Primaire ce dimanche et demandait donc le thème mensuel.
Ensuite, la sœur se rappela pourquoi elle avait sauvegardé le message.
« Merci d'être une merveilleuse présidente de Primaire dans tous les sens », avait écrit son évêque avant de signer son nom.
Relire cette phrase la fit sourire. Tout le monde, réalisa t-elle, a besoin de reconnaissance.
Peut-être dans l'Eglise, où le service est donné librement et est le plus souvent temporaire, sans compensation monétaire ou autre, nous devons nous souvenir que l'expression d'une gratitude sincère peut reconnaitre une personne dans ses efforts.
S'adressant aux autorités de général en 1967, Président Spencer W. Kimball exprima ses propres besoins en matière de reconnaissance, notant qu'il regardait souvent vers un des apôtres et un conseiller dans la Première Présidence pour une approbation. Jadis, dit-il, presque tous les sermons donnés, chaque décision, chaque argument avancé ont été faits avec la pensée suivante, « Que pense Stephen L. Richards? »
« Quant à moi, je semble toujours mesurer ma propre performance par l'estimation et l'évaluation des personnes dont l'avis sur mon service est primordiale», déclara Président Kimball.
« Je me trouve affamé et assoiffé d'un simple mot d'appréciation ou d'une évaluation honnête de mes supérieurs et de mes collègues. Je ne veux pas d'éloge; je ne veux pas de la flatterie; je demande seulement à savoir si ce que j'ai donné est acceptable. »
Des années plus tard, Président Gordon B Hinckley cita Président Kimball, notant que "même si je n'aurai pas dû l'être, j'avoue avoir été surpris" qu'un homme de sa stature nécessitait la reconnaissance des autres.
Si Président Kimball a besoin d'un peu de cela, alors combien plus encore la moyenne des membres de l'Eglise en a-t-elle besoin, a t-il dit lors d'un séminaire pour les représentants régionaux le 31 mars 1989.
Peut-être dans l'Eglise, où le service est donné librement et est le plus souvent temporaire, sans compensation monétaire ou autre, nous devons nous souvenir que l'expression d'une gratitude sincère peut reconnaitre une personne dans ses efforts.
S'adressant aux autorités de général en 1967, Président Spencer W. Kimball exprima ses propres besoins en matière de reconnaissance, notant qu'il regardait souvent vers un des apôtres et un conseiller dans la Première Présidence pour une approbation. Jadis, dit-il, presque tous les sermons donnés, chaque décision, chaque argument avancé ont été faits avec la pensée suivante, « Que pense Stephen L. Richards? »
« Quant à moi, je semble toujours mesurer ma propre performance par l'estimation et l'évaluation des personnes dont l'avis sur mon service est primordiale», déclara Président Kimball.
« Je me trouve affamé et assoiffé d'un simple mot d'appréciation ou d'une évaluation honnête de mes supérieurs et de mes collègues. Je ne veux pas d'éloge; je ne veux pas de la flatterie; je demande seulement à savoir si ce que j'ai donné est acceptable. »
Des années plus tard, Président Gordon B Hinckley cita Président Kimball, notant que "même si je n'aurai pas dû l'être, j'avoue avoir été surpris" qu'un homme de sa stature nécessitait la reconnaissance des autres.
Si Président Kimball a besoin d'un peu de cela, alors combien plus encore la moyenne des membres de l'Eglise en a-t-elle besoin, a t-il dit lors d'un séminaire pour les représentants régionaux le 31 mars 1989.
Président Hinckley ensuite partagea une histoire. Lors d'une occasion " je reçu un grand choc de mon président de mission. J'étais son assistant à l'époque. Certains des Saints dans la région avait déployés d'immenses efforts sur la réalisation d'un grand programme. Je proposais à mon président de mission d'écrire une lettre de remerciements aux membres pour ce qu'ils avaient fait. Sa réponse fut: «Nous n'avons pas à remercier les membres de l'Eglise, pour avoir fait leur devoir."
« C'est la seule chose sur laquelle je n'ai pas été d'accord avec lui. Je crois que nous devrions remercier les gens. Je pense que l'appreciation doit être authentique et sincère, car il est tout à fait approprié quand il y a un effort honnête et un dévouement. »
Citant Robert W. Woodruff, un éminent chef d'entreprise, le Président Thomas S. Monson a dit que les deux plus importants mots dans la langue anglaise sont "Thank you".
« Gracias, danke, merci - quelque soit la langue parlée,« merci »fréquemment exprimé, élèvera votre esprit, élargira vos amitiés, et mènera votre vie sur une meilleure voie alors que vous cheminez vers la perfection. Il y a une simplicité - même une sincérité- quand «merci» est prononcé « (« Le pouvoir de la profonde gratitude », Ensign, Septembre 2005, pp. 2-8).
Il n'y a peut-être pas de plus grand exemple de reconnaissance pour les efforts des autres que celui de notre Père Céleste. À trois reprises, en parlant de son Fils unique, Il acclame Jésus:
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection», dit-il au-dessus des eaux de la Jordanie, le jour Jésus a été baptisé (Matthieu 3:17).
« Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le, » Il a dit à Pierre, Jacques et Jean, après la transfiguration de Jésus (Matthieu 17:5).
Et Père Céleste dit:« Voici mon Fils bien-aimé, en qui je me complais, en qui j'ai glorifié mon nom: écoutez-le » avant que Jésus, ressuscité, apparaisse dans le nouveau monde (3 Néphi 11:7) »
De même, nous pouvons exprimer à plusieurs reprises notre appréciation envers ceux qui servent avec nous dans l'Église.
Après avoir parcourut son e-mail, l'ex-présidente de Primaire commença à déplacer celui-ci vers la corbeille sur son ordinateur. Puis après réflexion, elle changea d'avis. Il est bon de savoir que son évêque pensa que son service ait été acceptable.
Alors qu'elle resauvegardait le message, elle se demanda si elle le retrouverai à nouveau. Peut-être, pensait-elle, que ce sera un jour où elle aura besoin d'un peu de reconnaissance.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)
« C'est la seule chose sur laquelle je n'ai pas été d'accord avec lui. Je crois que nous devrions remercier les gens. Je pense que l'appreciation doit être authentique et sincère, car il est tout à fait approprié quand il y a un effort honnête et un dévouement. »
Citant Robert W. Woodruff, un éminent chef d'entreprise, le Président Thomas S. Monson a dit que les deux plus importants mots dans la langue anglaise sont "Thank you".
« Gracias, danke, merci - quelque soit la langue parlée,« merci »fréquemment exprimé, élèvera votre esprit, élargira vos amitiés, et mènera votre vie sur une meilleure voie alors que vous cheminez vers la perfection. Il y a une simplicité - même une sincérité- quand «merci» est prononcé « (« Le pouvoir de la profonde gratitude », Ensign, Septembre 2005, pp. 2-8).
Il n'y a peut-être pas de plus grand exemple de reconnaissance pour les efforts des autres que celui de notre Père Céleste. À trois reprises, en parlant de son Fils unique, Il acclame Jésus:
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection», dit-il au-dessus des eaux de la Jordanie, le jour Jésus a été baptisé (Matthieu 3:17).
« Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le, » Il a dit à Pierre, Jacques et Jean, après la transfiguration de Jésus (Matthieu 17:5).
Et Père Céleste dit:« Voici mon Fils bien-aimé, en qui je me complais, en qui j'ai glorifié mon nom: écoutez-le » avant que Jésus, ressuscité, apparaisse dans le nouveau monde (3 Néphi 11:7) »
De même, nous pouvons exprimer à plusieurs reprises notre appréciation envers ceux qui servent avec nous dans l'Église.
Après avoir parcourut son e-mail, l'ex-présidente de Primaire commença à déplacer celui-ci vers la corbeille sur son ordinateur. Puis après réflexion, elle changea d'avis. Il est bon de savoir que son évêque pensa que son service ait été acceptable.
Alors qu'elle resauvegardait le message, elle se demanda si elle le retrouverai à nouveau. Peut-être, pensait-elle, que ce sera un jour où elle aura besoin d'un peu de reconnaissance.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)
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Pure religion: un succès immédiat
En 2004, le Président du Pieu de Dagupan Philippines, Joe Andaya, a remarqué un problème grave au sein de son Pieu. « Nous continuons à perdre des dirigeants et des leaders qui, soit migrent vers Manille ou à l'étranger pour trouver un emploi mieux rémunéré », dit-il. Et le problème est courant dans les Pieux à travers les Philippines.
Des millions de Philippins ont quitté leur pays pour trouver du travail à l'étranger. En plus des centres de ressources aux emplois établis par l'Église, les pieux et districts ont mis en place des comités d’emploi comme moyen de résoudre le problème des familles séparées de leurs proches afin de gagner un salaire loin de chez eux. « Le comité a l’emploi du pieu a apporté une merveilleuse différence dans la vie de nos membres », a déclaré le président Manuel Garcia, spécialiste régional d’entraide dans la ville de Cabanatuan. « Aujourd'hui, nous voyons de plus en plus de membres gagner la confiance nécessaire pour explorer les possibilités dans différents domaines de l'emploi et des affaires, ainsi que de poursuivre leur éducation. Ils ont commencé à avoir de l'espoir, une lueur au bout du tunnel. »
Président Victornio Babida du Pieu de Paranaque Philippines a créé un comité a l’emploi de Pieu pilote dans le pays, qui est devenu le modèle que d'autres pieux ont suivi. Grace Vicencio du Pieu de Paranaque Philippines et la première directrice du comité de pieu dans le pays a déclaré qu’au début, elle était nerveuse quand elle a examiné la tâche devant elle. « Mais dès que le but est devenu clair pour moi, j'ai compris la vision. J'ai été inspiré de continuer à travailler avec notre comité afin d’aider avec ce que réclament les gens et qui est - devenir autonome. »
En 2007, 65 des 99 Pieux et districts dans l’île de Luzon ont organisé des comités a l’emploi de Pieu. Les programmes ont été un succès immédiat. En 2005, les Services de Ressource a l’Emploi de l'Eglise aux Philippines enregistré une moyenne combinée d’emploi, d'éducation et de stages de plus de 3 000 personnes. À la fin de 2008, l'ensemble des placements s'élèvent à 14 671 membres. « Le programme et l'organisation dans son ensemble est magnifique », a déclaré président Babida. - Services d’Entraide.
(Publié par LDS Church News)
(Publié par LDS Church News)
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Pensée du jour
Les messagers de Dieu
« À l’approche de la venue de ce Sauveur, un ange a été envoyé annoncer à Marie qu’elle allait être la mère du Fils de Dieu. Une armée d’anges a alors été chargée de chanter la nuit où l’enfant Jésus est né. Peu après, un ange annonçait à Joseph que le nouveau-né était en danger et que la petite famille devait fuir en Égypte pour sa sécurité. Une fois le danger écarté, un ange a transmis cette nouvelle à la famille et ses trois membres sont retournées au pays de leur héritage.Depuis le commencement et pendant toutes les dispensations, Dieu a utilisé des anges comme émissaires pour exprimer son amour et son souci pour ses enfants.(…)
Habituellement, ces êtres ne sont pas vus. Parfois ils le sont. Mais visibles ou invisibles, ils sont toujours près. Parfois leur tâche est grandiose et a de l’importance pour le monde entier. Parfois les messages sont plus personnels. Il arrive qu’un ange vienne pour avertir. Mais, la plupart du temps, son but est de réconforter, d’apporter une attention miséricordieuse et des conseils dans des moments difficiles.»
Jeffrey R. Holland du Collège des douze apôtres
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