News du 27 Janvier 2009

Enseigner « les enseignants » comment mieux enseigner

Les nouveaux présidents de mission au centre de formation missionnaire et directeurs de centre de visiteurs et leurs épouses auront une occasion unique au cours de leur service d’enseigner les missionnaires à partager l'Evangile - ou, plus précisément, d'enseigner les enseignants la façon d'enseigner.

Elder L. Tom Perry - membre du collège des Douze, qui préside le Conseil missionnaire exécutif de l'église - a souligné l'importance de l'enseignement lors de la conclusion de son adresse le 15 janvier à Salt Lake City pour les nouveaux présidents de mission au centre de formation missionnaire et directeurs de centre de visiteurs.

« Nous sommes tous des enseignants », à t-il dit. « Le jour où nous avons rejoins la mortalité, nous avons commencé à enseigner, comme les bébés apprennent à leurs parents. » Il a évoqué des situations d'enseignement allant de l'association des individus avec leurs amis aux parents ayant des interactions avec leurs enfants. « Même durant des actes répréhensibles, nous enseignons de mauvaises choses », a t-il ajouté. « Nous nous concentrons sur la nécessité de rendre nos missionnaires, les meilleurs enseignants », dit-il. « C'est leur fonction principale et importante - d'être maîtres de la parole de Dieu. »

(...) « J'espère et je prie que votre témoignage, vos désirs et votre influence aura une puissance dans leur vie afin de les changer », a dit Elder Perry, en ajoutant une promesse de bénédiction pour les présidents et directeurs et leurs épouses alors qu’ils s'efforcent de ne pas être seulement bon dirigeants mais aussi des enseignants de qualité pour leur prochain. « Le témoignage du Saint-Esprit sera puissant dans votre vie - plus puissant que jamais auparavant. » (Publié par LdsChurchNews)

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Encore au service à 93 ans

Après des années d'appels, Pearl Wilding se réjouit encore des bienfaits du service Lorsque Pearl Wilding est allée au bureau de son évêque Saint des Derniers Jours, en 1994, elle était prête à donner ses papiers pour faire une autre mission de prosélytisme. Son mari décédé récemment, elle a décidé qu'elle ne pouvait pas rester à la maison pour le reste de sa vie.

Aujourd'hui, plus de 14 ans plus tard, elle est toujours en mission - à l'âge de 93 ans. « J'aime parler aux gens et à les aider », a dit Sœur Wilding, « J'ai mis sur ma demande que je pouvais aller n'importe où dans le monde. J'adore cette œuvre. »
Ce qui a commencé comme un service de mission de 18 mois dans la bibliothèque de l’histoire de la famille, à Salt Lake City est devenue une mission avec beaucoup d'extensions. C’est devenu un mode de vie.

Obtenir une mission n'était pas une tâche facile pour Sœur Wilding. Bien que ses intentions fussent bonnes, quand elle est d'abord allée vers son évêque il lui avait dit qu'une mission de prosélytisme a plein temps à des limites, et pourrait ne pas être la meilleure option pour elle. Elle avait alors 79 ans. Se sentant découragée, elle a quitté le bureau de l'évêque et s’est dirigée vers la porte de la paroisse. Comme elle se déplaçait dans le couloir, elle a jetée un regard sur les annonces du tableau d'affichage. Là, elle a vu un dépliant encourageant les membres à servir en tant que missionnaire au siège de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours à Salt Lake City.

L'âge n'est pas un problème, et les limitations physiques sont aussi acceptables. « J'ai retournée mes papier à l'évêque et il a dit que nous allions envoyer mes papiers et voir ce qui se passe », dit sœur Wilding. « Je me suis retrouvé dans la mission de l’Histoire de la famille de Salt Lake City. » Quand sœur Wilding a commencée à servir une mission à temps partiel, elle n'avait jamais allumé un ordinateur. Elle utilise maintenant des ordinateurs et collabore avec 15 machines différentes dans le Centre de documents de la Bibliothèque de l’histoire familiale. « Quand je suis arrivée et j’ai commencée à travailler ici, j'ai ressenti l'esprit de cette œuvre et je l’ai adorée », dit-elle. « J'aime chacune de ces machines. Elles ont chacune une personnalité qui leur est propre. »
(Publié par LdsChurchNews)cliquez sur le lien pour voir une photo de Sœur Wilding

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S'attaquer aux dettes de consommation et s'en débarrasser.

Vingt ans de mariage ont donné lieu à 26000 $ de dettes qui n'ont rien donné. Mais en deux ans, ma femme et moi avons commencé une nouvelle année avec un plafond de dette de zéro dollars. Que s'est-il passé?
Je n'ai pas trouvé un fantastique emploi qui paye plus. Je n'ai pas gagné à la loterie d' Idaho. Je n'ai pas reçu d' héritage. Ce qui s'est donc passé est que ma femme et moi-même avons finalement mis en place un plan qui a marché.
Etape 1: Payer la dîme et les offrandes généreusement. Payer la dîme a toujours été facile, mais nous avons toujours pensé que nous n'avions pas les moyens d'être généreux avec les autres dons de bienfaisance. Nous avons doublé ce que nous aurions normalement payé et avons eu un bon sentiment à ce sujet. Nous avons eu la foi que cela aurait des résultats positifs. Peu de temps après, nous avons découvert que nous avions payé trop de taxes. Quand est-ce que cela arrive?

Etape 2: Faites un budget spécifique pour chaque mois avec votre conjoint. Nous avons assisté à des cours du soir organisés pour la communauté, et parrainés par notre banque, dans une école secondaire locale. Nous avons appris à travailler ensemble à gérer notre argent chaque mois. Faire un budget n'ai pas une partie de plaisir - c'est la raison pour laquelle 99% d'entre nous ne le faisons pas - mais une fois que nous avons vu comment travailler ensemble nous a permis de mettre des centaines, même des milliers de côté ou dans la réduction de nos dettes chaque mois, ça en valait la peine.

Etape 3: Faites vos achats discrétionnaires uniquement en espèce. Chaque jour de paye nous répartissions une partie de nos finances dans des enveloppes pour la nourriture, les divertissements, les vêtements et les dépenses un peu plus spontanées. Nous avons de cette façon là arrêté les dépenses excessives parce que vous ne pouvez pas dépenser ce que vous n'avez pas dans l'enveloppe. Si donc vous voyez quelqu'un payer en espèces au magasin, ne pensez pas de lui comme étant de la « vieille école»- il économise de l'argent.

Etape 4: Mettre en place un fonds d'urgence de 1000 $. La première chose que nous avons fait avec l'argent supplémentaire a été de commencer à mettre de côté ce fonds d'urgence. Cela nous a permis de prendre en charge les situations d'urgence sans s'endetter. Nous avons également été surpris de constater que nous avons eu moins de cas d'urgence, et en les payant en espèces, nous avons dépensé moins dans ce domaine.

Étape 5: Rembourser les dettes de consommation, de la plus petite a la plus grande. Travailler ensemble avec un nouveau budget tous les mois et en payant en espèces au lieu du plastique nous a donné des fonds supplémentaires pour s'attaquer à notre dette. En faisant des dépenses minimums sur tout le reste, nous avons pu commencé à rembourser la plus petite dette de sorte qu'une fois acquittée, nous pourrions combiner les paiements et rembourser la prochaine plus petite. Cet effet boule de neige nous a complètement mis hors de dettes - à l'exception de notre hypothèque de premier rang - en 23 mois.

Parmi les autres personnes qui ont assisté à cette classe de l'année 2003 la plupart ont aussi payé leur maison. Ayant parlé sur ce sujet lors de la Semaine de l'éducation du campus et ailleurs, j'ai appris depuis que la plupart des gens qui suivent ces étapes peuvent payer toutes leurs dettes de consommation, indépendamment de la taille, entre 18 mois et trois ans.

Je me suis rendu compte en ce qui concerne sortir des dettes, je savais depuis 20 ans ce qu'il fallait faire, mais pas comment le faire. Une fois que j'ai changé mon comportement et ai suivi ces étapes, tout est tombé en place. Le meilleur dans tout cela, c'est que ces mesures sont faciles à suivre et que tout le monde peut le faire, et tout ceux qui les suivent, obtiennent les mêmes résultats.
(Contribution d’Ambre)
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Pensée du Jour


« Malgré les enseignements de l’Église depuis les premiers jours jusqu’à aujourd’hui, ses membres sont parfois victimes de trop de pratiques financières imprudentes et mal avisées. Certains continuent de dépenser, pensant que d’une manière ou d’une autre, l’argent deviendra disponible, qu’ils s’en tireront de toute façon.
Bien trop souvent, l’argent espéré ne se présente pas.
Souvenez-vous : Les dettes sont une forme d’esclavage. Elles sont une termite financière. Quand nous achetons à crédit, nos achats ne nous donnent qu’une illusion de prospérité. Nous croyons posséder des biens, mais la réalité est que ce sont ces biens qui nous possèdent.
(…)
Ezra Taft Benson a dit : « Ne laissez ni vous ni votre famille sans protection contre les tempêtes financières. Constituez-vous des économies. »
Harold B. Lee a enseigné : « Nous devons enseigner aux hommes non seulement de s’acquitter de leurs dettes, mais également de ne pas s’endetter. »
Gordon B. Hinckley a déclaré :
« Il y en a beaucoup parmi nous qui vivent à l’extrême limite de leurs revenus. En fait, certains vivent à crédit... Je vous exhorte à modérer vos dépenses ; faites preuve de maîtrise dans vos achats pour éviter les dettes autant que faire se peut. Remboursez vos dettes aussi vite que vous le pouvez et libérez-vous de l’asservissement. »

Mes frères et sœurs, beaucoup de gens ont suivi ce conseil des prophètes. Ils vivent selon leurs moyens, ils règlent les dettes qu’ils ont contractées et ils s’efforcent de réduire le fardeau de ce qu’ils doivent à d’autres personnes. Nous félicitons ceux qui le font car le jour viendra où ils récolteront les bénédictions de leurs efforts et comprendront la valeur de ce conseil inspiré.
Néanmoins, d’autres personnes ont des difficultés avec les finances. Certaines sont victimes de revers ou souvent d’imprévus qui leur ont causé des dommages financiers. D’autres sont asservies financièrement parce qu’elles n’ont pas appris à se discipliner et à maîtriser leurs envies d’acheter. Par conséquent, elles ont fait des choix financiers malavisés. (…)

Soyons sages vis-à-vis des unes et des autres et gardons toujours les paroles du Sauveur en mémoire : Les Écritures nous disent : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent. Mais amassez-vous des trésors dans le ciel ». Les richesses de ce monde sont comme de la poussière en comparaison avec celles qui attendent les fidèles dans les demeures de notre Père céleste. Insensé celui qui passe ses jours en quête de choses qui rouillent et qui disparaissent. Sage celui qui passe ses jours en quête de la vie éternelle. »
JOSEPH B. WIRTHLIN Du Collège des douze apôtres
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